mercredi 7 octobre 2015

Ceux qui sauront


Eh bah moi je saurais pas la fin ! C'est simple, pour moi, si au bout de la 50ème page je m'ennuie : c'est dead :/ . En plus, moi qui aime tant lire, j'ai toujours l'impression de perdre du temps, du temps perdu pendant lequel je pourrais lire autre chose ! 
Du coup là j'arrive sur la 60ème et ça prend pas, en plus il y a beaucoup de longueur, de passages qui auraient pu sauter. 

Pour info, dans un temps bien lointain, les écrivains publiaient dans les journaux et étaient payés aux nombres de lignes écrites. Voici pourquoi, par exemple, "Les rêveries du promeneur solitaire" de notre cher J-J Rousseau, est trèèèèèèès ennuyeux ? Long ? Bref, tout ça pour dire que certaine fois je me demande si les auteurs ne sont pas encore payés à la ligne quand on lit certain passage. 

Je pense que l'histoire doit être très intéressante mais malheureusement ce n'est surement pas mon genre de roman et du coup je n'ai pas réussi à m'accrocher. Dommage, je n'aime pas faire de mauvaise critique. 
Néanmoins, "Ceux qui sauront" imagine un monde uchronique (modification d'un événement du passé), où la royauté est encore présente en France et où le savoir n'a pas à être enseigné aux pauvres dans la mesure où leur travail ne nécessite pas de connaissance. En revanche ce sont les riches qui peuvent bénéficier de l'enseignement. Voilà j'ai posé le tableau, si cette lecture vous intéresse ne vous privez pas ! Mon avis n'a que peu d'importance :) 

Une petite citation pour la forme, même si je ne l'ai pas trouvée moi-même :
"Vous qui avez reçu un magnifique cadeau lors de votre enfance, soyez remerciés d'avoir rejoint le réseau secret des pères Noël du savoir. Vous ne porterez pas de jouets ni d'oranges dans vos hottes, mais vos connaissances, et c'est le plus beau, le plus merveilleux des cadeaux." P. Bordage 
Nymphadora

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